De nombreux délires et du partage d'univers imaginaires sur fond de Roleplay ! |
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| Histoire d'un tueur de zombie | |
| | Auteur | Message |
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Tectoclasse
Messages : 35 Date d'inscription : 28/07/2012 Age : 28 Localisation : Dans son lit
| Sujet: Histoire d'un tueur de zombie Sam 28 Juil - 12:17 | |
| Prologue : Ma vie d'avant
Comment dire ? Au début de cette foutu guerre, j'avais tout juste mes 15 ans, donc encore au lycée, en 2nd. J'étais et je suis encore un espèce de fou, impopulaire (ça moins depuis la guerre), imbu de lui-même du moins en apparence (enfin j’espère), sanglant, pas très ordonné, une capacité de réflexion assez bonne, le sang chaud, hyperactif, et surtout je suis aigri. Du matin au soir, je passe mon temps à râler, sur tout et n'importe quoi, rien ne me convient. Où j'habite, ça a pas vraiment pas d'importance, le seul truc que je peux vous dire c'est que la caractéristique principal de ma région, c'est le TPMG (Tout Pour Ma Gueule). Ambiance qui je crois avant la guerre était déjà d'actualité dans la France entière mais particulièrement concentré vers chez moi. De plus les gens de mon coin ne jugent en grande majorité que sur l'apparence d'autrui et sur la dose de connerie de la personne. J'ai donc divisé, la population en trois catégories. En gros si vous êtes vraiment con, on vous rejette et vous rejoignez le groupe des "il est trop con, personne ne l'aime", une sous-branche de la classe impopulaire ; si votre apparence, laisse à désirer, ou que vous êtes du genre à sortir des discussions habituelles qui tournent en général autour de la gueule du meneur du groupe "populaire" et de ses centres d’intérêt qui se limitent souvent au foot, à l'alcool, au meuf, et à la drogue, vous êtes directement classé dans la caste des impopulaires dans la sous-branche "il réfléchi trop, il faut vraiment se méfier de lui". Voilà en gros, comment j’interprète "ma caste", les impopulaires. Ensuite, viens la classe, des populaires, pour une grande majorité, il passe leur temps à parler de leur sujet préféré : eux-même. Mais une petite partie, est enfaîtes très sympa et est surtout influencé par leurs amis les plus proches eux-mêmes populaire. Je les pleins quand même tout le monde leur casse le sucre dans le dos, même entre-eux, ils se détestent tellement désireux de ceux que les autres ont toujours en train de regarder dans la gamelle de l'autre. Après il y a les "gris", soit il ne feront jamais d'éclats à cause de leur manque de personnalité marquant et se contente de suivre les populaires, soit ils ont une personnalité remarquable du coup seul leur groupe d'ami proche s'en rend compte, car peut de personne s’intéresse aux gris a part les gris eux-mêmes ; pas assez différents des autres pour être impopulaire et pas assez TPMG pour être populaire, la malédiction des gris. Mais certain gris échappe pourtant à la règle disons qu'il sont populaires mais leur discussion et physique leur mette chez les impopulaires, en gros ils sont amis avec tout le monde et tout le monde les apprécie. Moi, comme je pense que au niveau, ami il faut privilégier la qualité que la quantité, je n'ai d'ailleurs que peu d'amis en moyenne sur lesquelles je peux compter. Un garçon et une fille. Je ne connais Arthur que depuis mon arrivé en 2nd, c'est un doux rêveur, toujours sur une autre planète, pas un grand parleur, mais quelqu'un de toujours à l'écoute, compréhensif, doux, et surtout un élément important pour me supporter, avoir les nerfs bien accroché. Quand a Cresciense, nom originaire d'une princesse romaine, si mes souvenirs sont bons (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé en voilà une preuve). On est dans la même classe tout les deux depuis la 6ièm, gothique, réfléchi, drôle, passionnée par les loups, les chevaux et les reptiles, et une grande majorité d'animaux dont je ne soupçonne même pas l'existence, elle a 2 rats (Peanut, Abye), 2 chevaux (Texas,Twister), une dizaine de lapins, un serpent (Hélios), 3 perroquets (Léa, Picsou, Dijit), 12 perroquets d'élevage, un chien (Badj), le chinchilla (Guizmo), 7 grenouilles. Seul les araignées, lui aspire le dégoût. Dernier détail, qui me permit de survivre, je passe mon temps à lire, tout le temps dès que je le peux, je prend mon livre du moment. J'ai donc lu, des traités sur la manipulation, le leadership, l'agriculture, la survie en milieu hostile. Sans oublier mes auteurs préférés, Zola, Agatha Christie. Et des romans que l'ont lis normalement à mon âge. Des milliers par an, je suis un grand fan de Fantasy, Thriller et de SF. C'est d'ailleurs grâce à ça que j'ai pu échapper, à ces hordes de zombis, que je me suis fais un opinion sur tout, et que je me permet de tout critiquer. Ce qui convient encore plus à mon coté aigri. Vous voilà mis au parfum sur ma personnalité, une dernière chose la phrase "Mange du Patey", ne veut rien dire. 11H22 Début de l'infection au virus Nostradamus en l'honneur de l'homme qui a prédis l'apparition de ce virus 1000 ans auparavant. | |
| | | Ludu Troisième Meilleure Posteuse
Messages : 349 Date d'inscription : 08/09/2012 Age : 28 Localisation : chez moi
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Mer 19 Sep - 15:52 | |
| Plutôt marrant comme texte j'ai hâte de lire la suite! | |
| | | Piaz
Messages : 233 Date d'inscription : 24/09/2012 Age : 28
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Dim 28 Oct - 21:09 | |
| Pas mal, pas mal le début ! ça commence fort, avec de l'émotion, et une écriture bien fluide Tout est good ! : On s'accroche à l'histoire, au personnage.. alors continu !! | |
| | | Tectoclasse
Messages : 35 Date d'inscription : 28/07/2012 Age : 28 Localisation : Dans son lit
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Mer 5 Déc - 15:57 | |
| Bonjour, à toutes et à tous ! Je ne publie que maintenant le 1er chapitre qui était à remanier complétement, avec des personnages pas assez vivant et réaliste avec un manque d'émotion. Je pense avoir corrigé le tir. Vous me direz vos avis rapidement. Voici donc pour le plaisir de vos yeux, le premier chapitre !! | |
| | | Tectoclasse
Messages : 35 Date d'inscription : 28/07/2012 Age : 28 Localisation : Dans son lit
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Mer 5 Déc - 17:05 | |
| Chapitre 1 : Les premières heures
12 avril 2012, 11H22 : Début de l'infection Tout le monde dans les 4 coins du monde a vu quelqu'un s'évanouir brutalement pas très loin de lui, comme si une force supérieur avait prévu de faire partir tout les sujets les plus faibles en même temps, il y a eu plusieurs vague d'évanoui. Manque de pot quand les sujets se réveillaient, ils avaient une bonne grosse dalle, et on était le seul plat au menu, des vrais Macdonald sur pattes. Quand l'infection a débuté, c'était une journée tout ce qu'il y a de plus normal , mais tout les survivants s'en souviennent, un ciel bleu, avec au loin de gros nuages noirs qui laissaient présagé d'un orage. J'étais alors en cours d’histoire-géo, au deuxième étage. Mon lycée est divisé en 6 bâtiments principaux, le A, B, C, D, E, F (original) pour les cours et de tout les bâtiments que l'on trouve dans un lycée du genre un hall, une cantine , un internat. Mon premier "évanoui" fut mon cher délégué, assis a coté de Cre, ce gars se pensait meilleur que tout le monde par le fait qu'il avait sauté une classe. Bref, il parlé a la prof au moment où s'est arrivé, tout d'un coup, ça tête tombe sur la table. Aucun de ses "amis" ne bougent (preuve que ma théorie est juste), la prof se jettent sur lui voir si tout va bien, avec une autre élève (lèche-cul !!!!!), Soudain quand l'élève atteint mon délégué, celui-ci lève la tête laissant apparaître son visage de zombie, un truc que personne oubli, mon premier visage de vrai zombie. Il avait dû mal en s'évanouissant, un de ses yeux était sorti de son orbite, et pendait bizarrement, la bouche légèrement ouverte, laissé échapper un filet de sang, et on voyait en regardant bien ça langue noire qui s'affolait dans sa bouche. La chair au coin de ses lèvres avait comme disparu laissant apparaître, un espèce de sourire rallongé un peu comme le Joker dans Batman, ses cheveux étaient dans le même état que les miens le matin au réveil. Des morceaux de chair manqué aléatoirement sur son visage. Mais le plus marquant, fut ses yeux devenu presque blanc, larmoyant, mais cela n'était qu'une illusion, il restait un monstre assoiffé de chair. Et se jette sur l'élève en gémissant, la mordant profondément à la joue. N'ayant plus de proie, il se tourna vers Cre, le même gémissement inquiétant au bout des lèvres, et avant qu'il n'est plus faire le moindre geste, je lui plaqua la tête violemment contre le bureau, grâce a ma connaissance cinématographique et biblique des zombies, je savais qu'il fallait viser la tête. La tête bloqué sur la table, le zombie se débattit de tout ces forces pour échapper à mon étreinte. Je demanda alors poliment à Arthuro, de prendre sa chaise et de l'éclater sur la tête de cette enfoirée cannibale. Il ne se fit pas prier, avec une violence que je ne lui connaissait pas, il l'abattit sur la tête du monstre, la cervelle éclata faisant gicler le sang sur le mur, la prof poussa alors un cri puis tomba évanouit brutalement, je tournai légèrement la tête pur m’apercevoir que l'autre déléguée avait déjà mordu deux de ses suiveuses et avait égorger la troisième suçant avidement son sang. Je pris donc ma chaise et lui éclata le crâne. D'un rapide coup d’œil, je fis le tour de la salle constatant que 3 autres, était déjà infectés, je pris ma règle en fer et mon ciseau, et d'un mouvement je relevai la tête de l'infectée, et lui plantai le ciseau dans l’œil. Sans prendre le temps de le retirer, la tête en retombant sur la table faisant ressortir le coté métallique de l'autre coté de son crâne. Je m'approcha alors rapidement des deux autres le plus loin s'étant déjà relevé, je mis un coup d'une extrême violence faisant voler des éclats de peau aux 4 coins de la pièce, les autres ayant eu le reflex de s'éloigner du zombie, je pris une table vide, et la lança sur le zombie qui perdit l’équilibre. Je me jetai sur la table, m'appuyant de tout mon poids et j'enfonçai directement la règle dans son œil. Une panique général s'empara alors de la classe, quelque élèves sortirent dehors, pour piller, par peur. Une, des suiveuses mordues, sachant ce qui l'attendait préféra sauter par la fenêtre. Je fermai aussi tôt les portes, dans la classe, un rapide coup d’œil me permit de voir ce qui étaient rester dans la classe. Dans la salle à coté de nous des cris de terreur. Alexis était également rester un mec, bien sympa, fan de manga et particulièrement d'un, le célèbre manga "One Piece" avec Pipo. Nicolas, son ami et le mien était sympa également, il avait son portable dans les mains pour garder une trace de notre aventure. Deux filles de leurs groupes. A coté, un gars avec qui j'avais traîné en début d'année, le temps de se trouver des vrais potes, un bouche trou avec qui ça avait mal tourné. Ensuite, je vis le drogué de la classe, intelligent, sympa suivant sa compagnie, il était trop défoncer, pour avoir réagi, je pense donc qu'il ne souviens pas du début, lui. L'autre qui rester était Bunny (surnom), cette fille, il me suffit de deux mots pour la décrire, salope et conne. Pas vraiment le genre de fille qui m'attire. Monsieur je sais tout était également du voyage, ce mec osciller entre le populaire et le gris, il se la jouer mélancolique à souhait, mais c'était surtout un insupportable casse-pieds qui croit tout savoir mieux que tout le monde. Le genre de gars à qui tu mets une grande baffe dans la gueule avec un plaisir absolu mal grès son physique de 2ièm ligne. Soumise quand à elle est la copine du connard de la classe, tout le monde le hais son gars, elle prend son masque de conne quand il est dans le coin mais enfaîtes très intelligente (en tout cas je pense). Avant de parler de quoi que ce soit je fis barricader les issues de la classe, balançai les corps des zombies hautement toxique,et fis fermer les volets. Les cris de terreur et les gémissements des créatures furent un peu couvert. Ensuite nous nous regroupâmes au milieu de la pièce, je me proposai aussi tôt pour diriger le petit groupe jusqu'à que nos chemins se séparent. Tous acceptèrent, sauf l'enfoiré que je haïssais, il refusa, je me jeta violemment sur lui, lui donnant un coup de poing au niveau de l’œil, il me fit une balayette, profitant de cette perte d’équilibre momentané, il me mit un pain au niveau de la joue. Je repris mes appuis, comme un bon in-fighter, je me mis au corps à corps puis enchaîna par un coup rapide dans le foie , il se plia en deux me permettant de placer un uppercut en plein menton. Le mettant à terre, quand soudain une des filles du groupe d'Alexis sauta sur nous et mordit le gars dans le cou, le tuant instantanément, elle était (et dire que j'avais oublier ce détail) infectée, je m'éloigna rapidement du zombie et lui fracassa une chaise sur le crâne en dépit de la barricade, et grâce à Cre, nous traînâmes les deux corps vers la fenêtre quand les volets furent ouvert, le spectacle macabre que m'offrir mes yeux fut impressionnant. Les quelques survivants opposaient maintenant une faible résistance face à un flot discontinu de zombie. Des centaines de corps totalement dévorés avait perdu leur chance (ou pas!) d'être réanimés, le pire de tout était que dans une, deux heures quand tout les corps se réanimeront l'endroit deviendrai alors un beau merdier. Après avoir accomplit ma tâche ingrate, Arthuro referma rapidement les volets. Le groupe réunifia ses maigres possessions au milieu de la salle, en plus de l'électricité, et donc d'internet en illimité, nous avions un briquet, 2 paquets de biscuits, une pomme, 18 morceaux de pains. Bref très peu de nourriture, pour 12 personnes. Il fallait sur le long terme nous donnait un objectif, en plus de survivre se qui me parai évident. Pour le court terme pas compliqué, trouver des armes, en tout cas pour l'instant faut de mieux, de quoi éclater un crâne humain, et pas des chaises nous trimbaler avec n'aurait fait que nous ralentir. Je commença avec le groupe à réfléchir aux armes, et il le fallait rapidement la porte la moins barricader commencer à trembler légèrement sous le nombre de zombies croissants. Alors, Cre eu une idée de génie, pourquoi ne pas prendre des chaises sur la barricade la plus solide de les casser et de récupérer les morceaux de fer, nous en fîmes beaucoup car ces petites barre de fer, se casser rapidement au bout de 2 ou 3 utilisations, le truc était mort, j'en distribua donc 5 par personne, soit 60 en tout. La porte, la moins barricader, trembla un peu moins comme si les zombies avaient disparu, je divisa, également les portions de nourriture en 12 que nous mîmes dans nos sacs. Nous rentrâmes alors dans la salle adjacente. Une dizaine de zombies parurent enchanté de nous voir, vu le concert de gémissements qui nous accueilli. * 12 avril 2012, 13H26, objectif : sécurisation du 2ièm étage Tout le monde avec une barre de fer à la main, à part l'autre fumé, mais alors que personne ne s'y attendait, je hurla le repli mais en précisant de ne pas fermer cette porte de manière qu'il rentre en compte goutte. Stratégie simple mais efficace, t’a pas plus con qu'un zombie. Le premier entra et a mon signal le zombie fut abattu d'un coup de nos armes de fortune, par Alexis qui eu l'air étonnée de l'efficacité de nos armes, mais l'heure n'était pas à la distraction, ce bref moment eu failli avoir eu raison d'elle sans les réflexes d'Arthuro. Le groupe prend vite la main et finit de tuer tout les zombies qui se trouvaient dans la classe. Je comprend les hurlements de tout à l'heure le scénario qui s'est déroulé dans cette classe est le plus horrible qui soient les élèves après avoir comme nous tuer les évanouis de leur classe, a du se barricader solidement mais parmi eux, comme souvent quelqu'un à cacher qu'il s'était fait mordre. Quand il s'est réanimé, et bien encore un beau merdier. Tout le monde se fait dévoré et vu la rapidité, a laquelle la classe a disparu, il y avait au moins 3 mordus. Pas de chance, la roue de la fortune n'était pas avec eux aujourd'hui. Je me permet ainsi d'ouvrir une nouvelle parenthèse sur les signes astrologiques et tout ce qui à rapport avec la divination. Pour moi, il n'y a pas un truc plus con, je vais pour illustrer ce que je viens de dire prendre un exemple tout con : le 11 septembre 2001. Dans la centaine de personnes qui se trouvaient se jour-là dans les deux tours, on peut être sûr que au moins un dizaine consulté leur horoscope quotidiennement à votre avis, combien de personne, on lu vous allez mourir aujourd'hui ? Nan, plutôt des trucs habituelles du genre vous allez passez une bonne journée, ou votre travail va être rapide et efficace. Connerie c'est truc là et rien ne me ferra changer d'avis. Revenons donc à nos moutons, nous avons deux classes pour nous tout seul, entièrement barricadés, nous nettoyâmes les corps dans l'autre salle de classe coordonnant nos efforts, quand soudain Nico qui s'était mis en garde à l'une des portes, me fit un geste d'alerte, un gémissement inquiétant venant de notre salle de classe, nous mîmes à tout un frisson. Je pris alors mon courage à deux mains et franchit la porte de la salle demandant au autre de refermer derrière moi. La salle plongée dans le pénombre , seul le petit rayon que laissait passer les volets roulants, éclairée la salle faiblement. Le gémissement se fit de plus en plus proche de moi, je cru voir une ombre mais rien de sûr, je dégainai, ma barounette de fer et sauta sur là ou j'avais vu l'ombre, ce fut une super gamelle, je tombai par terre comme un pauvre merde. Un visage apparut alors a quelle que centimètre de mon visage. "Romain ?". Je hurlai de terreur, Alexis rentra comme un fou dans la classe et avant que je ne puisse faire un geste la prof qui s'était évanoui au début de notre aventure passa de vie à trépas. Elle s'affala sur moi, après une brève prière, nous lançâmes sont corps du deuxième étage sans autre forme de procès, après avoir jeté le corps au lieu de se retirer rapidement, Cre me fit remarquer que l'on pouvait apercevoir des silhouettes dans le bâtiment en face, le C. On était donc pas les seuls dans cette merde immonde. On referma alors machinalement les volets. Notre groupe forma un cercle au milieu de la salle. Nous sortîmes nos vivres et l'on commença à se restaurer, mais grâce au bon sens de tout le monde tout le monde commença à économiser sa nourriture. Nous mangeâmes en silence, chacun perdu dans ses pensées. Puis quand nous eûmes fini de nous restaurer. Je fis un plan sommaire du Lycée, le bâtiment A dans lequel nous nous trouvions était relié au 1ère étage par un tube en verre relié au CDI qui se trouvait au dessus du hall dans le bâtiment F puis arrivé là-bas, on fonce à l'opposé du hall vers le bâtiment E qui n'est qu'un grand couloir avec des portes qui mène vers la cantine l'atteindre nous permettra ainsi d'avoir plein de nourriture, et d'eau nous permettant ainsi de tenir plusieurs mois dans l'enceinte du lycée, alors l'ennui deviendrait notre pire ennemi. Mais le but était pour l'instant d'atteindre le CDI et de se retrancher dans une salle informatique adjacente. Et d'y passer la nuit. Mais pour l'instant, il fallait se concentrer sur le fait de sortir d'une classe et de supprimer consciencieusement tout les zombies à cet étage (2 issues). Je sépara le groupe en 2, Moi, Cre, Arthuro, Alexis, Nicolas ; allaient quitter la salle pour s'approcher du bout du couloir le plus proche et attirer les zombies qui se trouvaient dans le couloir 3 personnes (Moi, Alexis, Cre), on nettoie alors tous les zombies en mode 1 par 1 (2 tuent les zombies et se font relayer par le dernier quand un des deux changent de barres) et les 2 autre couvriraient l'escalier n°1. Les 5 autres par un signal sous le commandement de Soumise fermeraient toute les portes dans le couloir pendant que mon groupe se séparait en 2 chacun pour garder un escalier. Puis le groupe n°2 iraient chercher dans nos salles de départ des tables et des chaises pour barricader l'escalier n°1 pendant que tout le groupe n°1 iraient garder l'escalier n°2 ensuite le groupe n°2 iraient barricader le seul escalier restant. Puis on feraient le ménage dans les classes, une par une. Après leur avoir expliqué, mon plan je leur fis savoir que aucun plan ne se passer comme prévu. On enleva donc les chaises dans la plus grande discrétion, aucun bruit ne parut attirer le peuple gémissant, le groupe n°1 sorti donc doucement, les quelques zombies qui nous remarquer sur leur passages étaient aussi tôt neutralisé de peur qu'il arrive en surnombre attirer par des gémissements. Alexis s'approcha trop près d'un zombie qui commença aussi tôt à gémir comme un fou alors que Alexis s’apprêter à lui mettre un coup de barounette bien placé, il trébucha dans ses lacets , et s'étala, le flot gémissant s'abattant sur lui heureusement nous étions proches les un des autres et sans cela Alexis aurait fini en zombie. Nous tuâmes les zombies mais ce court moment de distraction suffit à attirer tous les zombies qui se trouvaient dans le couloir, alors nous nous mîmes tous à courir comme des dératés , vers le fond du couloir et nous prîmes nos positions, je jeta un coup d’œil vers Cresciense, et comprit qu'elle était paralysé par une frayeur intense, je fis un geste à Alexis, il prit alors la place de Cre. Arthuro qui était remplacement pour le groupe qui couvrait l'escalier mit une grande baffe dans la gueule à Cresciense de manière qu'elle reprenne ses esprits. Elle sembla resurgir de loin. La tâche était harassante, tuer des zombies était moins cool que je l'avais imaginer, mais tout se passa sans incidents jusqu'au signal. Je lança le signal qui se limitait à hurler comme un fou "Maintenant !!!", mais il devait avoir une dispute dans la salle ou je ne sais quoi car personne ne sortit de la salle. Et mon cri n'avait fait que attirer des zombies qui se trouvaient dans les salles et les barounettes en fer commençaient à manquer. A ma demande le groupe hurla à l'unisson. Alors on dut nous entendre car le groupe n°2 sortit de la salle sans prendre la peine de fermer la porte, barounettes de fer à la main, il tuèrent les zombies restants au fond du couloir et on ferma toutes les portes du couloir et mon petit groupe partit surveillait l'escalier n°2. Une fois toutes les portes fermaient, je permis aux deux groupes de respirer un peu, enfin surtout pour le groupe n°1 vu que le n°2 n'avait presque rien fait. Soumise m'expliqua que monsieur-je-sais-tout avait essayer de s'imposer en tant que petit chef de leur groupe une dispute s'en était ensuivi et quand la moche leur avait dit que le signal avait été donné tout le monde l'ignora, (enfoirée de gris même pas assez de personnalité pour s'imposer), je promit à la sympa de m'occuper de monsieur-je-sais-tout dès que nous aurions fini de sécurisez l'étage, j’envoyai dons le groupe n°2 dans la salle de départ. Les zombies dans les étages étaient rares et qu'il arrive en haut des marches étaient encore plus rare. Chacun, se concentra sur sa tâche, quand un hurlement retentit des zombies étaient rentré dans la salle de départ, laissée ouverte, et avaient sauté sur Bunny. Le remplaçant de chaque mini groupe partit donc en renfort, pour découvrir que 5 zombies (dont deux sur Bunny), les remplaçants qui avait maintenant les nerfs bien accroché comme tous les membres du groupe n°1 tuèrent froidement les zombies dans les salles, on barricada les escaliers. Et on pénétra dans les salles maintenant fermées. On frappa au porte de façon à savoir si des goules se trouvaient à l’intérieur. Le nettoyage fut rapide et précis. *
12 avril 2012, 15H43, objectif : atteindre la salle d'informatique La joie explosa dans le groupe, on se félicita, on vanta ses exploits, on fit des commentaires. Nous avions réussi tout le monde était vivant et à part quelques accidents rien de grave à déplorer. Le bonheur était à son comble pour un groupe entouré de créature dont le seul objectif était de vous bouffer. On solidifia les barricades et on refis le plein de barounette. Bref les occupations habituelles d'un groupe après un combat contre des zombies. N'oubliant pas ce que j'avais promis à Soumise, je m'approcha de je-sais-tout, je l'insulta de tout les noms, il essaya de riposter mais le groupe n°1 par sa bêtise avait failli avoir de sérieux ennuis, commença à riposter contre lui, que vaut la réparti d'un groupe face à celui d'un homme d'autant plus que celui-ci est très con. Comme, je dis souvent, on peut être instruit mais être très con. C'est son cas. Il parut comprendre et s'excusa platement. C'était bon pour ce coup ci mais le préviens qu'au prochain écart, se serait la correction par le groupe complet. Il blêmit mais ne dit rien. Je proposa alors au groupe d'allez se reposez où un coin était rester très propre. Le groupe n°1 dormit ou somnola pendant une demi-heure. Puis vint le tour du groupe n°2 qui se reposa le même temps, on perdit une heure mais peu importe tout le monde était reposé et prêt à repartir du bon pied. J'avais durant mon sommeil cauchemardé, plein de rêve sanglant à souhait mais sans rapport avec les zombies , j'en fait tout le temps. C'est carrément relou. J'entendis alors un bruit familier celui de la pluie sur un toit. Un large sourire apparut alors sur mon visage l'eau ne manquerait point ainsi on rentra dans notre salle de départ, on ouvrit la fenêtre et cassa la gouttière de manière que nous puissions boire, et remplir toute nos bouteilles vides d'eau, le danger de la soif était ainsi écarter jusqu'à que la pluie se fut évaporé. Je prépara mon groupe complet à descendre au premier étage est à atteindre le CDI où je prendrais de quoi nous distraire et surtout de quoi apprendre. Nous défîmes la barricade de l'escalier n°2 et firent le max de bruit pour attirer quelques zombies au pied de l'escalier de manière de le tuer facilement, on descendit ensuite tranquillement l'escalier, le fumé presque par routine alluma même se qui me sembla être une roulée. Rien de bien grave, alors que tout le monde avait atteint le bas de l'escalier le petit groupe recommença à progresser dans le couloir sombre. Avançant en tête du groupe, je fut le premier à voir, une quarantaine de zombie se trouvaient devant le CDI interdisant tout passage, je fis donc un signe au groupe pour qui rentre dans la salle de classe la plus proche. Le groupe commença à s’exécuter quand le joint (j'avoue j'y connaît rien la dedans) commença à faire effet le fumé se dirigea droit sur le groupe de zombie, je l'attrapa par le col et le fit rentrer dans la salle de classe avec les autres et referma rapidement derrière moi les autre barricadant aussi tôt toutes les issues et ouvrirent l'autre porte de manière que l'on récupère les chaises et tables de l'autre classe. Le fumé, redoubla dans ses cris et les goules fut bientôt en grand nombre devant la porte qui fut très solidement barricadés, et l'autre qui continuait à hurler. Je pensa alors à commettre l'irréparable à voir la tête de certains de mes camarades d'infortune, d'autres avaient pensé la même chose que moi. Alors ma grande surprise, se fut une fille du Groupe de Nico qui s'approcha du fumé, et lui plaça un coup de barounette entre les deux yeux, il saigna abondamment, mais il resta vivant, elle lui planta la barre pratiquement complètement dans l’œil et il mourut sur le coup. Un sorte de chaos enchaîna la mort du fumé, certains se mirent à pleurer, d'autres à engueuler tout le monde. La mort de ce mec que je n'aimait pas ne me dérangea pas. Je balança son corps par la fenêtre, je baffa ce qui s’engueulaient, et les envoya réconforter ceux qui pleurer avec moi. Quand tous les pleurs, se furent arrêter dans la salle, un silence de mort tomba. Tous le monde avait les yeux fixés sur la fille du groupe d'Alexis, qui avait les yeux rouges à force d'avoir pleurer, elle se balançait d'avant en arrière un peu comme le font les autistes. Puis Monsieur-je-sais-tout,sentant que c'était le moment propice pour ouvrir sa grande gueule de con balança un "C'est de sa faute à elle, je pense qu'il faut la tuer". Le regard de Cresciense se rapprocha alors de celui d'une tigresse prête à tuer la faible proie que représentait Monsieur-je-sais-tout (pauvre petit). Il se mit alors à balbutier faiblement un "J'ai rien dit". Mais sa phrase avait eu l'effet qu'il désirait faire pleurer la fille. Elle commença à pleurer à nouveau. Arthuro calma le jeu en nous qu'il ne servait à rien de nous rajouter des problèmes supplémentaire et que ces gros cons de Zombie suffisait déjà. Leurs gémissements redoublèrent de volume se qui été franchement inquiétant. Personne n'osait le dire mais il ne nous rester que deux solutions mourir de faim ou de soif dans cette salle ou sortir et livrer une dernière bataille contre les zombies. N'osant évoquer la dernière possibilité, je donna des somnifères trouvaient plus tôt dans le sac d'un élève aux personnes de mon groupe qui semblait les plus faibles. Je proposa aux résistants de faire un tour de garde au cas où. Mon tour de garde commençai à 3 heure du matin, je m'ennuyais ferme. Je regardais rapidement si la barricade n'avait subi aucun dommage et ma grande surprise, je découvrit que quelqu'un avait déplacé la barricade de manière que la porte soit plus facile à ouvrir. Je réveilla Arthuro et Alexis pour leur montrer le méfait, tout deux affichèrent une expression de grande surprise. Avec leur aide, la barricade fut remis en place. Ils repartirent tout deux se coucher, je réveilla Nicolas à 4H30 c'était son tour de monter la garde et me rendormi. 3 jours passèrent ainsi, à tourner en rond dans une pièce de tout juste 20 m². Celle qui avait tuer le fumé, montrait des signes de folie de plus en plus évident, tout le monde se demandait quand les nerfs allaient lâcher. Le troisième jour, sa crise de nerf explosa enfin. Soudainement, elle s’arrêta de parler et se mit à bouger la barricade et fit entrer tout les zombies dans la salle, elle les attiraient tous grâce à ces hurlements stridents. Nous nous éclipsâmes par la porte de derrière. Et nous descendîmes rapidement au dernière étage. Elle avait tué mais elle nous avait tous sauvé. Paix à son âme. | |
| | | supercoussinets Administrateur
Messages : 1783 Date d'inscription : 25/07/2012 Age : 28 Localisation : Dans le monde de One Piece
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Mer 5 Déc - 21:38 | |
| Trop Bien ton chapitre ! Mais il y a quelque chose qui me dérange ... Je cite : "Alexis était également rester un mec, bien sympa, fan de manga et particulièrement d'un, le célèbre manga "One Piece" avec biiip" Je crois que t'as signé ton arrêt de mort | |
| | | Ludu Troisième Meilleure Posteuse
Messages : 349 Date d'inscription : 08/09/2012 Age : 28 Localisation : chez moi
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Dim 9 Déc - 11:19 | |
| C'est pas mal, mais pitié, fait gaffe à l'orthographe et à la ponctuation! Ca m'aidera à comprendre l'histoire =).
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| | | Tectoclasse
Messages : 35 Date d'inscription : 28/07/2012 Age : 28 Localisation : Dans son lit
| Sujet: Re: Histoire d'un tueur de zombie Sam 30 Mar - 16:38 | |
| La suite qui est super attendu, j'imagine ! Je vous met que deux paragraphes pour garder le suspense, Mouhahahahaha Chapitre 2 : Mais cours, Putain, COURS !!! 15 avril 2012, 8H10, objectif : trouver un moyen de traverser la cour La première sonnerie de la journée, nous réveilla tous à part Alexis qui était de garde, seulement une dizaine d'heure, s'étaient écoulées depuis la mort de la fille du groupe d'Alexis et sa mort semblait l'avoir touché profondément. Mais il avait les nerfs assez solide pour ne pas craquer. Nous étions enfermé dans les chiottes du rez de chaussé, je réuni le petit groupe encore choqué par ce qui venait de se passer. Je pris donc soin de choisir mes mots avant de parler, leur expliquant que sa mort était une preuve d’héroïsme et qu'elle avait voulu en se sacrifiant, se repentir du meurtre qu'elle venait de commettre, je leur dit également que tout espoir de s'en sortir n'était pas perdu. Je leur demanda si il avait une idée pour traverser la cour sans encombre. Je leur proposa, d'aller vers le bâtiment B, le plus proche de là où nous étions et également le plus proche du C, bâtiment où Cre et moi avions aperçu des silhouettes. Je demanda donc à tout le monde de réfléchir dans son coin. Et chacun parti dans son coin, je remarqua juste que Monsieur-je-sais-tout avait l’œil enflé et que le poing d'Alexis était un peu rouge. Le sourire en coin, je fis un clin d’œil entendu à Alexis. Le reste de la journée se passa sans encombre à part la découverte par Arthuro que la barricade avait été à nouveau endommagée. Quand la sonnerie de 16H20 eu lieu, je réuni de nouveau le groupe. Monsieur-je-sais-tout proposa de passer en rappel en remontant au premier étage et avec un grappin de rejoindre le bâtiment B. Je ne fis aucune réflexion tellement l'idée était mauvaise, Alexis se rapprocha lui mettant une grande claque derrière la tête et en lui disant de fermer sa gueule. Le groupe sourient. Je proposa alors mon idée de base au groupe qui était de courir à travers la cour, Bunny éclata de rire pensant que s'était une blague. Le regard Noir de Cre suffit à la faire taire. Le plan consistait donc à sortir des WC et de sprinter vers le préau du Bâtiment B et s’engouffrer dans la salle la plus proche soit la B001. Je compter également faire un détour par l'atelier des concierges où se trouvait plein d'outils qui pourrait nous être utile, tout le groupe compter dessus pour avoir de meilleur arme que nos barounettes. Tout le groupe, dit ce qu'il voulait. Laissant le choix aux autres, je passa le dernier me réservant le pied de biche. Environ 1 heure plus tard tout le monde était prêt. Je fis faire des échauffements à tout le monde. Je parti en éclaireur avec Nicolas qui comptait filmer. A peine mis un pied dehors que je fis demi-tour, il faisait trop noir. L'obscurité étant propice aux zombies. 16 avril 2012, 9H05, objectif : visite chez les concierges. Pour la deuxième fois de la journée, la sonnerie retentit dans le lycée, signal que nous allions par tardez à partir. Nicolas et Alexis sortirent doucement des toilettes ou nous étions retrancher. Un zombie, le pas traînant, était devant la porte avec un air ahuri, quand il vit sortir mes deux compères, il ne réagit même pas, il se laissa fracasser le crâne, comme si il avait été suicidaire. Après avoir rapidement regarder autour si aucunes goules ne traînaient dans le coin. Nous sortîmes en file indienne. La porte devant nous avez été défoncer, la salle vide, on voyait très clairement des traces de griffe sur la porte, ainsi que des marques régulières au même endroit quand on avait enfoncé la porte. Je ne pus m'empêcher d'entrer dans la salle, elle était déserte. Les chaises avaient été renversées, les tables éparpillées, un cadavre d'un prof en costume cravate, la tête dévorée, était étendu sur le bureau. Je vis également deux traces de main sur le mur très net, et quelqu'un avait écrit sur le tableau « La fin est proche ». Tant d'optimisme me réconfortait. Le désordre qui régnait dans la salle était presque artistique. Je sortis rapidement. Mon petit groupe s'était rapidement approché de la porte, je m'approchai tranquillement et regardai par la fenêtre, tout semblait tranquille. J'ouvris la porte le plus doucement possible, le groupe avait à peine 7 mètres à faire, pour atteindre le cagibi des concierges. J'ouvris la porte le plus doucement possible, elle grinça légèrement mais pas assez pour nous faire repérer. J'étais arrivé sous mon préau, c'est là que je traînais la plupart du temps quand je n'étais pas en cours. Le groupe progressa lentement, et fit cercle autour de la porte. J'appuyai légèrement sur la poignée, « Et merde, c'est fermé ! ». Hors de question de passé par la cour, on se ferait repérer, il fallait donc enfoncé la porte dans le maximum de discrétion. Heureusement pour nous les concierges entreposaient toujours du matériel à coté de la porte, je pris de quoi faire un levier et grâce à une aide coordonnée, nous soulevâmes la porte sans bruit. Nous rentrâmes discrètement. L'endroit sembler silencieux, les outils encore pausé tranquillement sur le mur, prouvé que personne n'était passé avant nous, seul un lourd marteau manqué à l'appel. Le groupe progressa comme un seul homme, vers les outils. Tout le monde se saisi de l'outil qu'il s'était réservé, le pied de biche dont je me saisi était en fer, un peu lourd, mais très solide. Je vis Arthur prendre un marteau, Cresciense porta son choix sur un autre marteau, et un tournevis. Bunny et Monsieur-je-sais-tout ne prirent pas d'armes. Alexis prit une barre de fer bien solide pendant que Nicolas se servaient dans le frigo des concierges avec Soumise. Alexis donna une barre de fer à Nicolas et Soumise. Le sourire aux lèvres, je m’apprêter à expliquer les deux possibilités qui s'offraient à nous, quand Bunny poussa un hurlement strident. Je sursautai et me retournai rapidement pour voir ce qui se passait. Bunny s'était trouvé un nouvel ami, un des concierges. Ce gars là, était plutôt grand et portait des lunettes, il me paraissait assez intelligent, et parlait dans sa barbe, pas forcement poli, toujours en train d'ignorer les élèves, au début je lui disait bonjour et quand j'en ai eu marre de prendre des vents, j'ai arrêté. Quand il s'était évanoui, il avait du se casser les jambes, car il rampait, traînant ses jambes derrière lui. Bunny avait eu le réflexe de s'éloigner de lui mais sembler maintenant tétanisé par la terreur. Son visage exprimait une terreur intense, impossible de prononcer le moindre mot (à vrai dire, ça m’arrangeait, ses hurlements auraient attiré les amis du concierge). Mais son premier hurlement avait réussi à attirer deux autres concierges, le jeune qui avec sa posture me faisait penser à un débile profond, et l'autre plutôt gentil qui paraissait être le doyen des quatre concierges. Le rampant s'approcha de Nicolas qui eu la joie de tester en premier sa nouvel arme. Et écrasa le premier zombie, Cresciense, qui enfonça son tournevis profondément, dans l’œil du zombie. Le dernier zombie, s'était approcher dangereusement de Bunny. Elle était fini, je cru voir le moment, où elle allait se faire mordre. C'est alors que surgit de nulle part, le dernier concierge apparu et écrasa le crâne du zombie d'un coup d'une extrême violence. J'avais toujours apprécié ce bonhomme, petit, gros, il était très gentil, et il lui arrivait de s'arrêtait pour discuter avec nous sous le préau. Son visage qui quelques secondes plus tôt exprimer de la colère et de la peur, nous fit un sourire. Je m'approchai de lui et lui serra la main. "Bonjour, ça fait du bien de voir un nouveau visage", "J'allais dire la même chose". Et je repris aussi tôt mes esprits, Soumise faisait voir un coup d'eau à Bunny, Monsieur-je-sais-tout, Alexis, Nicolas essayaient de remettre la porte que nous avions fracturé sur ses gonds. Arthuro et Cresciense semblaient en pleine discussion. Quand Alexis, Nicolas et Monsieur-je-sais-tout eurent remis la porte à peu près en place, le groupe fit rond autour du concierge, chacun se présenta sommairement. Cela fait, je proposai au concierge de nous accompagner, ce qu'il accepta évidemment. Le plan que je leur exposa était fort simple, le but serait de traverser la cours le plus lentement possible. Et au cas où nous nous ferions repéré, ils ne nous resteraient plus que à courir vers la salle la plus proche, soit la B001 qui semblait vide. Je fis l'ordre de passage, le concierge, Moi, Arthuro et Cresciense en premier. Puis Monsieur-je-sais-tout, Nico, Alexis. Et enfin Bunny et Soumise. | |
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